Samedi 31 décembre 2011 à 23:11

Pour étudier le lien entre le mouvement (celui de l'eau et du corps) et la musique, nous allons danser ! Pour cela, nous utiliserons le mix d'oeuvres que j'ai nomé Aquation.

http://www.musicalanscape.fr/images/musique/54b9b445.jpg

Ce morceau se divise en trois partie, chacune étant la bande originale d'un film différent, toujours en rapport avec les bateaux, l'aventure en mer.

1ère partie : Titanic
Dans cette première partie, la mise en scène est très simple. Les groupes avancent lentement, en produisant différents univers sonores, soit chantés, soit avec des effets de type claquement de doigts, frottement de mains ou bruit vocal de bulles.
Le groupe se rejoindront, formant chacun une ligne, pour symboliser les vagues entrant en scène dans la deuxième partie.

2ème partie : Christophe Colomb
Dans cette partie, la chorégraphie est au sol et représente l'oécan, du clapotis calme des vagues jusqu'au déchainement de la tempête. Cette partie permettra aux élèves de travailler leur coordination, en répétant en boucle des mouvements de manière décalée avec les autres groupes.

3ème partie : Pirates des Caraïbes
Il s'agit de la partie où la chorégraphie est la plus diversifiée. Voici donc une petite animation que j'ai réalisée pour réviser / apprendre la chorégraphie. Dans un premier temps : les gestes avec les "paroles", sans musique, puis, dans un deuxième temps, la chorégraphie en rythme, avec la musique.


La chorégraphie et la mise en scène, sur l'ensemble de Aquation, permet grâce à la coordination et la maîtrise des gestes, de sentir les modes de jeu et la pulsation de la musique.
 
Mode de jeu = Manière de jouer d'un instrument de musique.
Pulsation = Battement régulier du temps permettant la coordination du geste musical avec l’univers sonore qui nous entoure.

Une fois ces deux éléments bien maîtrisées, une analyse plus fine du temps est réalisée et permet de sentir les temps forts, qui permettent les appuis chorégraphiques sur la bande son. Le travail sera principalement réalisée sur la deuxième partie (Christophe Colomb), à trois temps. Dans ce cas, c'est toujours le premier des trois temps qui est le temps fort.

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